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 Religion, société, arts & autres informations

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Denyen
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MessageSujet: Religion, société, arts & autres informations   Religion, société, arts & autres informations EmptyVen 17 Aoû - 16:22

La religion

     
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Une religion polythéiste

 
La religion a une grande importance que ce soit au Nord ou au Sud. Le Caol Linah est la religion de tous les habitants. Il est possible que certains soient athées mais la plupart croient en cette religion et en ses Dieux qui ont créé le continent.
On raconte qu'ils sont arrivés avant que le soleil ne se lève sur la planète, le jour de la fête Lirah qui a lieu à Essfir. Les dieux que l’on retrouve dans nombre de récits sont le peuple mythique du continent. Ce sont des dieux, des déesses, des héros, des grandes prêtresses. Ils maîtrisent le Druidisme, le Savoir et les Arts. La religion respecte l’idéologie tripartite, l’organisation se compose de classes auxquelles correspondent des fonctions :

• Une première classe sacerdotale qui a en charge le religieux et le sacré,
• Une deuxième classe guerrière pour la guerre et la magie,
• Une troisième classe artisanale qui doit produire tout ce dont la société a besoin.

Seul le Dieu primordial, le Dieu des Dieux Denyen assume toutes les fonctions, il est donc hors-classe.


Première classe : Religieux et le Sacré

• Bisaltes ; Dieu Druide .
• Lyssa ; Déesse de la Sagesse

Deuxième classe : Guerre & Magie

• Dénia ; Déesse de la Magie
• Dagnar ; Dieu de la Guerre
• Estham ; Dieu de la Royauté
• Mediane ; Déesse de la Mort

Troisième classe: Artisanat


• Phylo ; Dieu de la Forge & des Minerais
• Credne ; Dieu des Vignes & des Paysans
• Luchta ; Dieu charpentier de la Chasse et de la Nature.

Certains participent au trois classes:

• Diancecht ; Dieu-Médecin
• Oengus ; Dieu de la Jeunesse
• Brigit ; Déesse des Poètes, des Forgerons et des Médecins
• Orflhait ; Déesse des Femmes et de la Prospérité

Dans la religion il faut savoir que la naissance et la mort d'une personne sont très sacrées. Les Grandes prêtresses et les druides sont les personnes qui se chargent de la religion et de tout ce qui est sacré. Autant un nourrisson est important, autant la volonté d'un défunt - qui est scrupuleusement respectée de peur de provoquer la colère des druides et prêtresses - l'est aussi.

Il faut savoir que certaines règles régissent le comportement des druides et des prêtresses. Un non respect de ces règles entraîne le bannissement sans avertissement et par la suite la mort. Trois règles toutefois sont à retenir:

• N'abuse pas de ton pouvoir.
• Garde ton sang-froid en tout danger.
• Crois aux dieux et en toi-même.

Les druides ont la possibilité d'avoir des enfants mais pas de se marier. Si son enfant est un garçon, le druide doit en faire son successeur, si c'est une fille il doit la laisser à la mère. Les prêtresses quand à elles peuvent se marier et avoir des enfants mais, qu'ils soient filles ou garçons, le destin des enfants demeure entre les mains de ces derniers.


Les fêtes religieuses:

Toutes les fêtes religieuses ont lieu à Essfir.

Samain dont le sens est « réunion » a lieu le Ier novembre. C'est la fête la plus importante, elle inaugure une période de noirceur et d'épreuves. Plus que le nouvel an, c’est le passage d’une année à l’autre, sa célébration dure une semaine qui est hors du temps, ce qui favorise les contacts avec l'Autre Monde, le moment où les vivants et les morts se rapprochent. Elle se caractérise par des festins et des beuveries rituelles.

Imbolc qui signifie « lustration » est le 1er février. C’est la purification qui marque la fin de la période hivernale. Cette fête évoque l'éveil, le printemps, c'est le temps de la régénération.

Lirah au 1er mai est une fête sacerdotale, qui marque le passage de la saison sombre à la saison claire avec le changement d’activités que cela implique. Les druides allument de grands feux pour protéger le bétail, essence même de la richesse. C'est la deuxième date la plus importante du calendrier.

Denyenagsad est l' « assemblée de Denyen » le 1er août. Cette fête, associée à la moisson, aux bénéfices, à l'abondance était consacrée au roi dans son rôle de redistributeur des richesses et de protecteur. C’est l’occasion de conclure des contrats de toutes sortes (commerciaux, matrimoniaux, juridiques) et de se mesurer dans des compétitions (joutes littéraires, sports), des jeux ainsi que de chanter et danser.

 
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MessageSujet: Re: Religion, société, arts & autres informations   Religion, société, arts & autres informations EmptyLun 3 Sep - 18:28

Les femmes dans la société

     
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Place aux femmes

 
Contrairement aux idées reçues, les femmes sont libres, disposent d'un certain nombre de droits et peuvent même agir en politique. Elles n'en restent pas moins mineures, sous la tutelle de leur père, frère, oncle, mari. Elles ont des droits et des devoirs. Les femmes peuvent hériter de leurs parents et de leur mari. Elles peuvent gérer ce bien mais pas l'aliéner. Le Morgengabe (« don du matin ») est un autre transfert de biens, dont bénéficie la mariée au lendemain de ses premières noces, seulement si elle est vierge, et qui est destiné à pourvoir les enfants du couple. En ce qui concerne les veuves, la plupart sont traditionnellement vouées aux Dieux et leurs intérêts sont protégés par l'Église, ce qui peut les protéger des pressions des prétendants, ceux-ci cherchant à mettre la main sur leur patrimoine en les épousant en secondes noces. Les veuves sont ainsi plus libres que les femmes mariées dans leur façon de mener leur existence. Elles peuvent cependant prononcer des vœux sans être consacrées ce qui rend les prétendants « moins regardants » et implique des remariages assez fréquents. En conclusion, les femmes ont une plus grande autonomie économique, mais dans les faits, leur capacité d'action est souvent réduite.

Les jeunes filles du peuple sont destinées à se former, en attendant le mariage, à des travaux ménagers ou féminins. Souvent, elles sont dans un premier temps placées dans d’autres familles pour être servante et exécuter les tâches ménagères afin de se constituer une dot. Une fois adultes, elles sont généralement embauchées comme apprenties par des maître(sse)s afin d’être formées et de se spécialiser dans la profession "choisie". Il arrive qu'elles  travaillent  avec leur mari, dans l’entreprise familiale artisanale, marchande ou paysanne. Cependant, les femmes célibataires doivent rester sous la dépendance d’une famille jusqu’à leur mariage, ou jusqu’à leur mort si elles ne trouvent pas de mari. La femme est très souvent cantonnée aux travaux ménagers, à l’éducation de ses enfants, aux métiers du secteur du textile, du petit commerce et de l’alimentation et seules les femmes peuvent exercer des métiers dans le milieu de l’obstétrique et de la puériculture. Dans les entreprises familiales paysannes, les femmes s’occupent principalement de l’élevage, de la fabrication du pain, de la bière, et de la production laitière (sauf si cette production était spécifique à l’entreprise, dans ce cas, l’activité était réservée aux hommes). Les veuves ou les célibataires sont très pauvres étant donné le très petit salaire qu’elles perçoivent, et pour survivre elles mendient, volent, se prostituent ou se réfugient dans un monastère. Là-bas elles peuvent lire, chanter, filer et tisser.

En ville, certaines femmes font du commerce en vendant ce qu’elles ont elles-mêmes produit (petit commerce), et parfois, elles se regroupent et font alors du grand commerce. Cependant elles ne doivent pas s’éloigner de leur foyer afin de pouvoir continuer à remplir leurs devoirs familiaux.

L'âge minimum des fiançailles est fixé à 7 ans et l'âge du mariage à 12 ans. Les garçons ne peuvent pas se marier avant 14 ans. La religion a pourtant la possibilité de faire des exceptions lorsque l'union peut rétablir la paix entre deux familles. La précocité de l'engagement est normale à cette époque où la durée de vie et donc la durée de la jeunesse sont très courtes. Les femmes les plus jeunes sont majoritairement issues de classes élevées, et se marient avec des hommes souvent beaucoup plus âgés. Dans les familles plus modestes, les mariés ont des âges plus proches. L'amour n'est pas un fondement de l'union, mais un principe qui vient en se mariant. Le mariage étant premièrement une union de deux familles, il apaise les disputes et garantit la paix. Comme dans les sociétés primitives, donner une femme en mariage est la plus commune et plus simple méthode pour forger des liens entre clans et nations.

Des cadeaux, champs, troupeaux, esclaves ou bijoux sont parfois offerts en échange de la femme ou alors donnés avec elle, certaines sociétés estimant que la femme sera tellement chère à entretenir que son père doit payer pour s'en défaire. Les biens apportés par le mari sont appelés "douaire". Ceux déboursés par la famille de la mariée, "dot". Ces pratiques sont si courantes qu'un mariage sans dot ou douaire n'est pas considéré comme valable. Les pauvres s'échangent aussi des biens pour le mariage, même si ces cadeaux ne sont alors que symboliques. Les transactions matérielles sont bien au centre de l'engagement. Le banquet de noces où se retrouvent parents, alliés et amis fait partie du même rite. Les familles dépensent sans compter pour satisfaire les convives en nourriture, vin et spectacles.

La maternité est l'un des devoirs principaux de la femme mariée. Les femmes stériles sont alors parfois répudiées après des années de mariage non fécond.

Dans les classes supérieures, les mères ne sont pas forcées de veiller constamment aux besoins de leurs enfants. Les nourrices et les domestiques s'occupent souvent de nettoyer, baigner, langer et nourrir les bébés. Comme les femmes sont de plus mariées très tôt, cela amène de nombreuses naissances, en moyenne 8 à 10. Les femmes de milieu artisan ou paysan s'occupent bien plus de leur progéniture. Aussi, la descendance est moins nombreuse que dans la noblesse. Malgré tout, il n'est pas toujours facile de conjuguer travail obligatoire et soins aux enfants. Les plus jeunes, laissés sans surveillance, sont donc souvent victimes d'accidents. À partir de 4 ans, ils commencent à aider leur mère dans le travail de la maison ou du jardin. Les enfants ont comme première fonction d'assurer les vieux jours de leurs parents.

Les techniques utilisées lors des accouchements sont très peu connues. En effet, les hommes n'ayant aucune expérience là-dedans et ne pouvant pas y assister, nous n'avons quasiment aucune information. En tout cas, quelle que soit leur origine sociale, les femmes appréhendent leurs couches. À cette époque et pendant longtemps, l'accouchement engendre de nombreux risques même en présence de la prêtresse. Les moyens de contraception étant très illusoires, les femmes ne pouvant ou ne voulant pas assumer une grossesse ou une naissance sont parfois obligées d'avorter, de tuer ou d'abandonner leur enfant à la naissance.



 
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MessageSujet: Re: Religion, société, arts & autres informations   Religion, société, arts & autres informations EmptyLun 3 Sep - 18:43

Les relations entre hommes et femmes

     
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L'amour courtois

 
Il désigne de façon générale l’attitude à tenir en présence d’une femme de la bonne société, l’amour courtois n'étant ni plus ni moins qu’une relation vassalique entre homme et femme. Il désigne l’amour profond et véritable que l’on retrouve entre un prétendant et sa dame. L'homme doit être au service de sa dame, à l'affût de ses désirs et lui rester inébranlable de fidélité. C'est un amour hors mariage, prude sinon chaste et totalement désintéressé, mais non platonique et ancré dans les sens et le corps autant que l'esprit et l'âme. L’amoureux, dévoué à sa Dame est, normalement, d’un rang social inférieur, il est un noble de première génération en passe de conquérir ses titres de chevalerie.

Le sentiment de l'amant est censé s'amplifier, son désir grandir et rester pourtant en partie inassouvi. Il s’adresse souvent à une femme inaccessible, lointaine ou d’un niveau social différent de celui du chevalier. Elle peut feindre l'indifférence. On nomme ce tourment, à la fois plaisant et douloureux joï (à ne pas confondre avec "joie").

Ce nouveau concept devint finalement une vertu essentielle du code chevaleresque, souvent en opposition avec la loyauté envers le suzerain et difficilement conciliable avec la courtoisie au sens de galanterie, et même avec la vaillance que le chevalier devait continuer à entretenir. Il prime sur le mariage, une femme mariée peut ainsi laisser parler son cœur si elle est courtisée selon les règles précises de l’amour courtois.

Cette codification du jeu amoureux est étroitement liée à la codification de la chevalerie. C’est un jeu masculin, éducatif, où les jeunes hommes, pas encore mariés, maîtrisent leurs pulsions et leurs sentiments, comme ils apprennent à maîtriser leur corps dans un tournoi (ce qui n’exclut pas qu’ils laissent libre cours à leur libido avec des femmes de rang inférieur). De plus, la femme est une proie ; celle qui est la cible de l’amour courtois des jeunes est souvent l’épouse du suzerain, qui la donne en enjeu. Les jeunes cherchent à séduire la dame pour mieux plaire à leur seigneur, mais aussi pour mieux se différencier du peuple vulgaire, et des bourgeois, qui peuvent les concurrencer financièrement, mais pas culturellement. Ainsi, ils peuvent participer au Cour d'amour.

Les cours d’amour sont des jeux courtois  au cours desquels, dans une organisation calquée sur l’institution judiciaire, les questions de droit et d'amour sont discutées.
Les juges sont de composition variables : grandes dames (en majorité), troubadours (quelques-uns), chevaliers (très peu). Ces tribunaux, comme toute cour, devaient rendre un jugement en matière amoureuse et juger:

   soit un point de droit: "L'amour est-il possible entre époux?"
   soit des querelles entre amante et amant.

Le seul code en vigueur y est celui de l'Amour courtois avec une seule question: "La Dame ou le Chevalier se sont-ils conduits conformément à ce Code ?"

Jusqu'à maintenant, le plus célèbre verdict est celui de la reine Mórrighan et qui juge impossible l'amour entre personnes mariées, ce qui a valu des soupçons sur la fidélité de la reine envers le roi.



 
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MessageSujet: Re: Religion, société, arts & autres informations   Religion, société, arts & autres informations EmptyLun 3 Sep - 18:54

La gastronomie

     
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Boissons et nourriture

 
Les céréales telles que l'orge, l'avoine, le seigle et le blé sont les aliments de base les plus importants. L'orge, l'avoine et le seigle, pour les pauvres, et le blé pour les riches servent à fabriquer les pains, les bouillies, les gaudes et les pâtes qui sont consommés par toute la population. Les fèves et les légumes sont des suppléments importants au régime essentiellement à base de céréales des plus pauvres. La viande est plus chère et donc plus prestigieuse et le gibier ne se trouve que sur les tables de la noblesse. Les viandes les plus répandues sont le porc, le poulet et les autres volailles tandis que le bœuf qui demande plus d'investissement est moins présent. L'alimentation de la noblesse est davantage soumise aux influences étrangères que la cuisine des pauvres car les riches peuvent s'offrir des épices exotiques et des importations coûteuses.

Un repas médiéval est généralement une affaire collective. L'ensemble du foyer, dont les serviteurs, dînaient généralement ensemble. S'échapper furtivement pour rester en privé est considéré comme de l'égoïsme hautain dans un monde où les personnes dépendent beaucoup les unes des autres.   Être invité dans la chambre du seigneur est un grand honneur et peut permettre de récompenser des amis et d'intimider des subordonnés. Cela permet aux seigneurs de manger des nourritures plus raffinées que celles distribuées au reste du foyer dans la salle principale. Néanmoins, pour les grandes occasions et les banquets, l'hôte et l'hôtesse dînent généralement dans la salle principale avec les autres convives. Comme la propreté était jugée importante, avant le repas et entre les plats, des bols d'eau et des serviettes sont offerts aux invités pour qu'ils puissent se laver les mains.

Les normes sociales rendent difficile pour une femme de maintenir l'idéal de propreté immaculée et de délicatesse en mangeant et la femme du seigneur dîne souvent dans une autre pièce avec son entourage ou mange très peu lors du banquet. Elle revient généralement à la table après la fin du repas potentiellement salissant. Dans l'ensemble, la cuisine gastronomique est une affaire d'hommes et il est rare que les invités, sauf les plus honorés, viennent avec leurs épouses ou leurs dames de compagnie.

L'échange des verres est courant même pour les grands banquets sauf pour ceux se trouvant à la haute-table. De même, rompre le pain ou découper la viande pour l'un des convives est parfaitement conforme à l'étiquette. La nourriture est généralement servie dans des assiettes ou des marmites et les convives prennent leur part dans des plats pour la placer dans un tranchoir de pain rassis, de bois ou d'un alliage plomb-étain avec une cuillère ou avec leurs mains.

Dans les foyers pauvres, il est courant de manger des aliments directement sur ​​la table. Les couteaux sont utilisés à table mais la plupart des invités doivent apporter le leur et seuls les hôtes les plus favorisés reçoivent un couteau personnel. Un couteau était en effet habituellement partagé avec au moins un convive sauf si l'on a un rang important ou si l'on est proche de l'hôte.

Les fourchettes pour manger ne sont pas très répandues. Le dessert médiéval est typiquement composé de dragées et de vin chaud et épicé accompagné de fromage ; à la fin du Moyen Âge, on pouvait y ajouter des fruits couverts de sucre, de miel ou de sirop et des pâtes de fruits. Il existe une grande variété de crêpes sucrées, de beignets, de custard doux, de lait d'amande et de pâtisseries. En ce qui concerne les boissons, celle qui est le plus souvent servie est l'Hypocras: c'est une ancienne boisson à base de vin sucré et aromatisé à la cannelle.

 
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